Nous parlerons aujourd’hui de visions. Il y a plusieurs
sortes de visions. Certaines sont d’origine naturelles,
d’autres surnaturelles. Dans les deux cas il y a des
visions qui ont pour origine un objet extérieur, et
d’autres sont produites dans le cerveau lui-même.
Les unes et les autres peuvent être dites ‘matérielles’,
car elles concernent des êtres sensibles, matériels.
Mais il y a aussi des visions dites ‘abstraites’
car elles ont rapport à la pensée. Ainsi disons-nous
que la pensée de quelqu’un sur un sujet donné
constitue sa ‘vision’. Si certaines visions ‘matérielles’
peuvent être bizarres ou terrifiantes, ce n’est
rien comparé à certaines visions ‘abstraites’.
Par exemple, rappelons-nous les visions qu’avaient Hitler,
Staline, et Mao Tsé Toung, sur le monde tel qu’ils
le croyaient devoir être! C’étaient là
des conceptions monstrueuses, comme des millions de victimes
ont pu le constater d’horrible façon!
D’une certaine manière, je puis dire que je
suis moi-même un peu effrayé en pensant à
une certaine vision. Non, non, il ne m’est rien arrivé,
et je suis parfaitement sobre. Je ne parle pas ici d’une
vision d’être matériel, mais bien d’une
vision ‘abstraite’. Rassurez-vous, il ne s’agit
pas du tout de ma vision personnelle, mais bien de celle de
notre bien-aimé Archevêque de Winnipeg, Son Excellence
Mgr James Weisgerber. En effet, le 19 novembre dernier, afin
de commencer la célébration du 90ème
anniversaire du diocèse, et pour en préparer
le centenaire, il a exposé, dans une Lettre Pastorale,
sa vision du futur de l’archidiocèse. Et je vous
le dit: Elle est effrayante!
Nos lecteurs comprennent bien que la situation de l’Église
de Winnipeg n’est pas meilleure que celle des autres
diocèses dans le monde. Nous avons les mêmes
ministres laïcs, filles ‘servants de messe’,
femmes ‘administrateurs paroissiaux’, cours de
catéchisme dilués, messes ‘rock-and-roll’,
principe d’ ‘inclusion’, et tout le reste.
Ce qui est effrayant dans la vision de Mgr Weisgerber, c’est
son intention pour le futur du diocèse de «redécouvrir
l’enseignement du Concile ». Il ajoute: «
Les documents de Vatican II demeurent le prisme à travers
lequel nous nous voyons et découvrons ce que nous sommes
appelés à être comme église…
L’Église est toujours un projet en construction.»
Mgr Weisgerber continue en disant: «Ensemble,
nous sommes appelés à bâtir une église
de communion.» Il n’explique cependant
pas pourquoi il dit parfois ‘Église’, et
à d’autres moments ‘église’.
Peut-être que par le premier terme il désigne
l’Église universelle, et par le second son diocèse?
Qui sait?
Quoiqu’il en soit, il semble bien que l’archevêque
se voit, coiffé du casque blanc de contremaître,
dirigeant la construction de son ‘église’,
selon les plans dessinés par Vatican II. Il est troublant
de constater que, même si son diocèse a suivi
le courant moderniste depuis les années soixante, Mgr
Weisgerber considère qu’il doit appliquer le
Concile, comme si on en était encore dans les jours
suivant sa clôture en 1965: «Comment
cette vision de Vatican II peut-elle prendre racine dans l’archidiocèse
de Winnipeg aujourd’hui? Premièrement, il nous
faut reconnaître que ceci est un temps nouveau. COMME
ÉGLISE, NOUS N’AVONS JAMAIS ÉTÉ
ICI AUPARAVANT; NOUS CREUSONS DE NOUVELLES FONDATIONS».
(L’emphase est de nous). On peut presque voir le contremaître
Weisgerber, entouré de grues, de bulldozers, et j’en
passe! Incroyable! Il rédige une Lettre Pastorale pour
commémorer le 90ème anniversaire du diocèse,
et il dit qu’en tant qu’Église «nous
n’avons jamais été ici auparavant ».
Oubliés les travaux, les prières, les sacrifices
de ses prédécesseurs! Mgr Weisgerber semble
reconnaître le fait que l’Église traditionnelle
a été détruite, et qu’une nouvelle
doit la remplacer, d’où le creusage de «nouvelles
fondations ». Peut-être me direz-vous
que les mots de Mgr l’Archevêque veulent tout
simplement dire que les membres de l’Église de
Winnipeg n’ont jamais auparavant vécu à
notre époque… Oui, mais cela reviendrait à
dire: ‘Hé! Le monde! Nous n’avons jamais
encore vécu en 2006!’ Je suis sûr qu’une
telle déclaration serait reconnue comme le trait de
génie du siècle! Mais cela ne serait quand même
pas une excuse pour essayer de continuer, et même d’accélérer
la Révolution de Vatican II! Nous vivons en 2006, c’est
bien vrai, mais, en autant que je sache, l’humanité
elle-même n’a pas évolué. Nous sommes
toujours blessés par le péché originel,
et nous avons toujours besoin de recevoir la doctrine et les
sacrements de Notre Seigneur. Il n’y a donc rien qui
justifie de dire que «nous creusons de nouvelles
fondations»! D’une manière
ou d’une autre, Mgr Weisgerber tourne le dos à
la Tradition, et telle est la réalité, quoique
signifient ses paroles ambiguës.
Et il semble tout excité par cette idée, comme
il le dit avec enthousiasme: «Recevoir l’enseignement
du Concile, mettre en pratique sa nouvelle vision
(nous y voilà de nouveau… une vision),
et construire de nouvelles manières de travailler ensemble
créent une période de défis. Mais c’est
aussi un temps de créativité, de risques, un
temps de victoires et de désappointements, un temps
de compréhension, de compassion, de pardon. Un temps
vraiment merveilleux!» Aye! Aye! Aye!
Cette vision est effrayante! Pour l’Archevêque,
la prise de risques, quand le salut des âmes qui lui
sont confiées est en jeu, est quelque chose de merveilleux.
Cela nous montre qu’il ne comprend rien à sa
vraie mission telle que Dieu la conçoit.
Mais ce qui est triste et pathétique, c’est
que Mgr Weisgerber semble croire qu’à moins de
se lancer dans la nouveauté, il ne serait qu’un
moins que rien. Eh, bien! J’ai de mauvaises nouvelles
pour lui: Ce qu’il nous annonce comme étant ses
mesures pour bâtir une nouvelle ‘église’
n’ont rien de nouveau. La plupart des autres membres
de l’illustre épiscopat ‘Post Vatican II’
en ont fait autant il y a déjà quarante ans,
et parmi ceux-ci on retrouve des figures célèbres!
Je ne mentionnerai que le fameux Mgr Fulton J. Sheen. Oui!
Vous m’avez bien entendu: LE Mgr Sheen! En effet, nous
n’avons qu’à lire un article à son
sujet dans le numéro de novembre 1968 de la revue ‘Catholic
Digest’ pour nous en convaincre. L’auteur, un
nommé Douglas J. Roche, dit que huit mois après
son intronisation comme Évêque de Rochester,
New York, le 28 octobre 1966, Mgr Fulton Sheen publia un document
par lequel «la révolution conciliaire,
lancée par le Pape Jean, prenait racine dans le sol
local…» M. Roche dit que l’évêque
«a commencé à écouter
ses gens, à les faire participer, à donner des
ouvertures à ceux qui voulaient aller de l’avant.»
Mgr Sheen créa d’abord un sénat ou conseil
de prêtres pour participer à la gouverne du diocèse.
Puis il transféra les affaires financières du
diocèse à un groupe de laïcs. La chancellerie,
dont le nom «évoquait trop un aspect
juridique», fut rebaptisée ‘Bureau
de Pastorale’. Il forma aussi une équipe de laïcs
chargée «d’aider les autorités
du Séminaire à décider de l’acceptabilité
des candidats à l’ordination sacerdotale».
Mgr Sheen fut aussi au centre de l’expérimentation
des ‘Messes Maison’ se tenant dans les sous-sols,
et ayant toutes les caractéristiques de la future ‘Nouvelle
Messe’.
La ‘vision’ de l’Archevêque de Winnipeg
est donc loin d’être entièrement nouvelle.
Elle comporte cependant des éléments démontrant
sa volonté de se rendre plus loin que ses prédécesseurs.
Bien qu’il n’expose pas son plan en détail
dans sa Lettre Pastorale, on peut avoir une idée de
ce qu’il fera, en lisant le texte d’un article
du ‘Winnipeg Free Press’ du 19 novembre, publié
sur le site Internet de l’Archidiocèse. En effet,
le journaliste John Longhurst y dit: «L’un
des endroits où Weisgerber (sic) veut
que les laïcs soient plus actifs est celui de la direction
des cérémonies: ‘C’est par la manière
dont on prie ensemble qu’on montre ce que l’on
croit… Que tous les gens sont participants, pas seulement
le gars en avant.’ …Weisgerber dit que la liturgie
elle-même a besoin d’être révisée,
remodelée, et qu’elle doit être présentée
‘en des mots, des termes, des symboles, que le peuple
comprend aujourd’hui… Nous devons trouver de nouvelles
formes, et cela va vraiment nous demander de la créativité.’»
Longhurst rapporte aussi que «l’Archidiocèse
organise des ateliers au sujet du rôle des musiciens
dans la direction des cérémonies, et veut que
les gens développent des habiletés en ce qui
regarde la lecture des écritures (sic)».
Et comme Mgr Weisgerber espère que plus de laïcs
vont «partager leurs dons»,
et vont participer activement aux activités pastorales,
cela plaît déjà à bien des gens.
Comme le dit m. Longhurst: «Cathy Laviolette,
administrateur pastoral de la paroisse St Michel à
Gimli, aime la façon dont la nouvelle vision diminue
la distinction entre le clergé et les laïcs. ‘J’aime
cet aspect de la vision,’ dit-elle, ajoutant que malgré
qu’elle ait un bon groupe de laïcs travaillant
avec elle, il y a encore plus de personnes dans la paroisse
‘qui ont des dons à partager’.»
On comprendra mieux pourquoi Mme Laviolette est heureuse,
quand on saura que Mgr Weisgerber déclare dans sa Lettre
Pastorale, juste après avoir cité les mots de
st Paul disant qu’il n’y a pas de différences
entre Juif et Grec, esclave et homme libre: «Et
j’ajouterais qu’il n’y a aucune distinction
entre le clergé et les laïcs… Chacun des
baptisés a reçu l’onction de l’Esprit…
Dans le baptême, nous sommes tous égaux en dignité…».
Un peu plus loin il explique que la raison pour laquelle il
y a une hiérarchie dans l’Église est que
«bien que nous partagions une égalité
dans le baptême, il existe une variété
de tâches qui requièrent différentes formes
de commandement. Afin de préserver et ordonner les
dons de tous vers le bien commun, le Seigneur a établi
des pasteurs ayant autorité, pour s’assurer que
cette communauté aux dons multiples demeure unie dans
la foi et l’amour.» Voici là
le principe majeur de la vision de l’Archevêque.
À partir de cette vérité que nous partageons
en commun le don du baptême, il élabore une nouvelle
perspective pour la structure de l’Église:
Nous sommes tous égaux dans le baptême, donc
il n’y a pas de distinction fondamentale entre le clergé
et les laïcs. Les évêques et les prêtres
n’ont qu’une autorité spéciale pour
assurer ordre et unité dans l’Église.
Tout le monde peut donc participer à l’administration
des paroisses, et peut diriger les cérémonies
liturgiques, selon les dons particuliers à chacun.
Ce que Mgr Weisgerber veut donc construire c’est une
nouvelle structure ecclésiale et une nouvelle forme
de culte, les deux étant basés sur le sacrement
de baptême. Dans cette Église il n’y aurait
plus de clergé, parce que le sacrement de l’Ordre
ne serait plus que le symbole d’une autorité
spéciale qu’aurait le ‘ministre ordonné’,
dans le but d’assurer l’unité et l’ordre
de la communauté. Puis, comme le rite de la célébration
de la Messe aura été changé pour refléter
cette ‘vision’, et comme elle n’a déjà
plus que l’apparence d’un repas, il n’y
aurait plus d’obstacle à laisser des laïcs
‘présider’ les cérémonies
liturgiques. À ce moment-là, vu que les ‘églises’
protestantes n’ont pas de vrai sacerdoce, le dernier
obstacle à un culte conjoint avec elles aurait été
écarté. Alors Hourra! Nous aurions vraiment
une ‘Église’ laïque et œcuménique!
Je vous le disais, la vision de l’Archevêque est
effrayante! En effet, les Catholiques connaissant leur Foi
savent que le sacrement de l’Ordre confère un
‘caractère’ spécial à l’âme
du prêtre, et lui donne des pouvoirs spéciaux
que n’ont pas les laïcs: Ceux de la consécration
de l’Eucharistie, de l’absolution des péchés,
de l’Onction des malades, de la Confirmation et de l’Ordre
(dans le cas des Évêques). Accompagnant ces pouvoirs
surnaturels vient aussi la distinction, établie par
Notre Seigneur lui-même, entre l’Église
‘Enseignante’ et l’Église ‘Enseignée’.
Ce qui signifie la différence entre le Pape et les
Évêques (et les Prêtres et Diacres qu’ils
délèguent), et les simples fidèles. C’est
la distinction venant de ce que le clergé enseigne
la Foi aux fidèles. En d’autres mots, la Foi
Catholique nous enseigne que la distinction entre le clergé
et le laïcat est fondée sur deux choses: Le véritable
et surnaturel ‘caractère’ et les pouvoirs
conférés par le Sacrement de L’Ordre,
et la Mission donnée aux Apôtres et à
leurs successeurs par Notre Seigneur lui-même. Je ne
crois pas que Mgr Weisgerber ait le pouvoir de changer cela!
Maintenant, qu’est-ce qui a bien pu amener cette vision
d’une ‘Église’ laïque? Bien
que chacun puisse avoir sa propre opinion là-dessus,
je crois qu’on peut trouver la réponse en étudiant
la situation de l’Archidiocèse: Il s’écroule!
Mgr Weisgerber est bien placé pour le savoir. En effet,
les statistiques officielles nous montrent une terrible réalité:
Si la tendance se maintient, il n’y aura bientôt
plus de prêtres pour diriger les paroisses, administrer
les sacrements, célébrer la sainte Messe. Comparons
un peu les chiffres fournis sur l’Archidiocèse
de Winnipeg par le ‘Catholic Year Book’ de 1955,
avec ceux qu’on retrouve sur le site Internet du même
diocèse pour 2005:
ARCHIDIOCÈSE
DE WINNIPEG |
1955 |
2005 |
Population Catholique |
70,000 |
170,590 |
Nombre de Paroisses |
75 |
68 |
Prêtres Séculiers |
62 |
64 (incluant 14 à la retraite) |
Prêtres Réguliers |
83 |
28 |
Total des Prêtres |
145 |
92 |
Séminaristes |
18 |
4 |
Proportion Prêtres/Fidèles |
1/482 |
1/1854 |
Maintenant, si nous comparons la proportion
Prêtres/Fidèles de 1955 avec celle de 2005, nous
voyons qu’elle a diminué de 280% durant les cinquante
dernières années! Oublions toutes les subtilités
et les beaux discours des prélats de l’Église
moderne, et regardons les chiffres! Ils nous indiquent qu’il
y a presque trois fois moins de prêtres au service des
fidèles aujourd’hui qu’il n’y en
avait il y a 50 ans! Voilà un résultat concret
de Vatican II! Et j’ai été très
généreux, car j’ai inclus dans les chiffres
de 2005 les 14 prêtres à la retraite. Quand on
sait jusqu’à quel point les autorités
modernistes utilisent leurs prêtres âgés,
on comprend que ces 14 là sont probablement tous en
chaise roulante, et qu’ils ne sont plus en mesure de
servir les fidèles. Si nous les enlevions de la colonne
2005, la proportion Prêtres/Fidèles deviendrait
1/2187, et nous aurions ainsi une diminution de 352% comparé
au ratio de 1955! Nous pouvons aussi constater que, malgré
une augmentation de 100,000 Catholiques dans le diocèse,
le nombre de vocations est passé de 18 à 4,
soit presque cinq fois moins qu’avant!
On voit que le futur de l’Église
de Winnipeg n’est pas très reluisant. Confronté
à cette situation, Mgr Weisgerber se devait de réagir.
Malheureusement, au lieu de tenter de changer cette tendance,
il a décidé de s’en accommoder et de transformer
la structure de l’Église. Il y a trois fois moins
de prêtres, et cinq fois moins de Séminaristes
aujourd’hui? Pas de problème! On n’a qu’à
dire qu’il n’y a plus de distinction entre le
clergé et les laïcs, et on n’a qu’à
demander à ces derniers de remplir le vide! Après
tout, n’avons-nous pas tous «reçu
l’onction de l’Esprit»? Et
ne sommes-nous pas «tous égaux dans
le baptême»? Les membres de la hiérarchie
n’exercent-ils pas seulement une autorité, celle-ci
n’ayant pour but que de «…préserver
et ordonner les dons de tous vers le bien commun»?
Ah, là, là! Quelle terrible vision!
Mgr Weisgerber semble avoir besoin de nouvelles lunettes!
Au lieu de voir que les aberrations du Concile sont la cause
de l’effondrement de son diocèse, et au lieu
de tenter de renforcir les murs affaiblis, il déclare
que « comme église nous n’avons
jamais été ici; nous creusons de nouvelles fondations
». Et il n’est probablement pas
le seul évêque dans le monde à penser
de cette façon. Ils sont tous devant la même
terrible situation, et je n’ai jamais entendu parler
d’un évêque ayant décidé
de rejeter Vatican II, et de reconstruire son diocèse
sur la terre ferme de la Tradition Catholique. Alors mes chers
amis, nous sommes forcés d’admettre que l’
‘Église’ de Vatican II professe de plus
en plus une nouvelle Religion. Que Dieu ait pitié de
nos âmes! ?
Quelques
nouvelles et avis…
1-
M. l’Abbé Loren Gerspacher a été
officiellement transféré du Prieuré de
Vernon (C-B) à celui de Toronto (Ont). Cela permettra
M. l’Abbé Violette de consacrer plus de temps
à son travail de Supérieur du District du Canada.
2-
M. l’Abbé Médard Biebibang est finalement
arrivé à notre école de Lévis.
Merci pour vos prières.
3-
Au sujet de l’expiration de votre abonnement à
Convictions: Il se termine au numéro indiqué
dans le coin supérieur droit de l’étiquette
montrant votre adresse, après l’inscription ‘Convictions
expires’. Mais vous n’avez pas à vous en
faire, car j’inclus toujours une lettre de rappel dans
votre dernier numéro. Merci de répondre à
une telle lettre rapidement, cela m’épargne bien
du temps.
4-
Comme vous avez pu le constater, il n’y a pas eu
de numéro ‘Octobre-Décembre’. Nous
avons eu des problèmes avec nos programmes d’ordinateur
à l’automne, et n’avons pu rattraper notre
retard. Nous nous en excusons, et nous vous souhaitons de
saintes et joyeuses Pâques!