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Communicantes: November 2001
 

Mahomet et l’Islam
Adapté de Catholic Encyclopaedia
Par MM. les abbés Gérard Rusak et Dominique De Vriendt

 

Islam est un mot arabe qui, depuis Mahomet, a acquis une signification religieuse et technique pour désigner la religion de Mahomet et du Coran, tout comme le Christianisme désigne la religion de Jésus et des Évangiles, ou le Judaïsme la religion de Moïse, des Prophètes et de l’Ancien Testament.

 

I – Le fondateur

 

Mosquée Hazrat – é – Mahsoumeh dans la ville ‘sainte’ de Qum,
en Iran

Mahomet, « le glorifié », le prophète et le fondateur de l’Islam, est né à la Mecque en 570 de notre ère. Fils de parents caravaniers, il passa sa jeunesse comme berger et comme domestique auprès des caravanes, et épousa à l’âge de 25 ans Khadidja, une riche veuve qui était de 15 ans plus âgée que lui. Elle lui donna six enfants, qui tous moururent très jeunes excepté Fatima, sa fille bien-aimée.

A l’occasion de ses voyages commerciaux en Syrie et en Palestine, il fit la connaissance de Juifs et de Chrétiens, et acquit une connaissance imparfaite de leur religion et de leurs traditions. Il était un homme qui aimait la retraite, adonné à la prière et au jeûne. Il était sujet aussi à des crises d’épilepsie. Dans sa quarantième année (en 612), il prétendit avoir reçu un appel de l’ange Gabriel, et commença une carrière active comme prophète d’Allah et apôtre de l’Arabie. Par sa prédication et ses attaques contre le paganisme, Mahomet provoqua la persécution qui le chassa de la Mecque. Il s’enfuit à Médine en 622 : c’est l’Egire, qui marque le commencement de l’ère islamique. Car à Médine il fut reconnu comme prophète de Dieu et ses fidèles augmentèrent. En 10 ans, Mahomet organisa un état et une société dans lesquels la loi de l’islam se substitua aux anciennes coutumes païennes d’Arabie. L’institution de la guerre sainte (djihad) - devoir de combattre ceux qui n’adhèrent pas à la foi nouvelle - donna à l’islam le fondement de son expansion future. Il fit la guerre contre ses ennemis, conquit plusieurs tribus arabes, juives, et chrétiennes, entra en triomphe à la Mecque en 630, démolit les idoles païennes de la Kaaba, devint maître de l’Arabie, et finalement unit toutes les tribus sous un seul emblème et une seule religion. En 632 il fit son dernier pèlerinage à la Mecque à la tête de quarante mille fidèles, et mourut peu après son retour d’une fièvre violente à l’age de 63 ans, l’an 633 de l’ère chrétienne.

Il semble que Mahomet était à l’origine sincère, mais plus tard, entraîné par son succès, il usa de tromperies chaque fois que cela lui était utile. Après la mort de sa première femme, il devint la proie de ses passions mauvaises. Certains attribuent ses prétendues révélations à des crises d’épilepsie, ou à « un paroxysme de démence cataleptique ». Il est probable que le prophète transgressait même les traditions éthiques de ces brigands idolâtres parmi lesquels il vivait, et qu’il violait grossièrement la morale sexuelle facile de son propre système. Il est à peine nécessaire de dire, après ceci, que Mahomet était très loin de réaliser les exigences les plus élémentaires de la moralité biblique. Ce jugement, bien que sévère, repose sur des témoignages qui nous viennent des lèvres et de la plume de ses propres fidèles adhérents

 

II – Le Système

A - expansion géographique de l’islam, organisation et divisions

 

 

Le muezzin – ici un Imam –
appelant à la prière

Après la mort de Mahomet, l’islam aspire à devenir une puissance mondiale et une religion universelle. La faiblesse de l’Empire byzantin, les malheureuses rivalités entre les églises latines et grecques, les schismes de Nestorius et d’Eutychès, la décadence de la dynastie des Sassanides en Perse, le code de morale très laxiste de la nouvelle religion, la puissance de l’épée et du fanatisme, l’appât du pillage et l’amour des conquêtes – tous ces facteurs, combinés au génie des califes, les successeurs de Mahomet, expliquent que, en beaucoup moins d’un siècle, furent conquis la Palestine, la Syrie, la Mésopotamie, l’Égypte, l’Afrique du Nord, et même le Sud de l’Espagne ! Les musulmans traversèrent même les Pyrénées, menaçant d’abreuver leurs chevaux à Saint Pierre de Rome. Ils furent enfin battus par Charles Martel - « le marteau de l’islam » - à Tours, en 732, juste 100 ans après la mort de Mahomet. Cette défaite arrêta leurs conquêtes à l’Ouest, et sauva l’Europe. Au huitième et neuvième siècles, ils conquirent la Perse, l’Afghanistan, et une grande partie de l’Inde, et au douzième siècle, ils étaient devenus les maîtres absolus de toute l’Asie de l’Ouest, de l’Espagne et de l’Afrique du Nord, de la Sicile, etc. Au treizième siècle, ils furent conquis par les Mongols et les Turcs, mais les nouveaux conquérants adoptèrent la religion de Mahomet et renversèrent au quinzième siècle l’Empire chrétien byzantin (1453). A la fameuse bataille navale de Lépante, le 7 octobre 1571, commémorée plus tard par la fête de Notre-Dame-du-Rosaire, la flotte chrétienne de la Sainte Ligue, commandée par Juan d’Autriche, détruisit virtuellement toute la flotte de l’Empire Ottoman, mettant ainsi un terme à la menace de la suprématie navale turque en Méditerranée. L’établissement de cette Sainte Ligue, qui permit de combiner les flottes d’Espagne et de Venise, et la victoire elle-même doivent beaucoup à saint Pie V, et à la récitation du Rosaire dans toute la chrétienté. Mais les Ottomans menaçaient toujours l’Empire germanique depuis Constantinople. Ils furent de nouveau battus, cette fois aux portes de Vienne en 1683. Les troupes turques, commandées par le grand vizir Kara Mustapha, faisaient le siège de Vienne en juillet. Une armée chrétienne germano-polonaise conduite par Jean III Sobieski de Pologne et par Charles de Lorraine réussit à briser le siège le 12 septembre, après 58 jours, en la fête du Saint Nom de Marie. Est-ce un hasard si les grandes victoires sur l’Islam sont attribuées à Notre-Dame ? Sobieski avait dit à ses soldats de n’avoir pas d’autres mots sur les lèvres que ceux de Jésus et de Marie. S’approchant du camp musulman, le chef polonais vit des tentes de soie et des soldats en train de massacrer les femmes pour qu’elles ne soient pas prises par les chrétiens. Sobieski écrivit au Pape Innocent XI : « Veni, vidi, Deus vicit  - Je suis venu, j’ai vu, Dieu à vaincu ».

Répartition géographique : l’islam compte aujourd’hui au moins 950 millions de fidèles. Il s’étend depuis la côte ouest de l’Afrique jusqu’au Philippines (au Sud) embrassant une étendue qui comprend la Tanzanie, l’Asie centrale, la Chine de l’Ouest, l’Inde, la Malaisie et l’Indonésie. En Amérique du Nord, il compte déjà plusieurs millions d’adeptes.

Organisation : Théoriquement, l’état et la communauté religieuse sont une seule et même chose, administrée par un calife (chef suprême de la communauté islamique). Le Coran, révélé par Dieu à Mahomet, est le fondement de la vie religieuse et politique. La loi canonique (Charia) fixe les cinq devoirs fondamentaux (les cinq piliers). Il n’y a pas de clergé, mais seulement des guides religieux (ulemas, mollahs) qui interprètent la loi et veillent à son application. En pratique, l’islam est une collection assez souple, et lâche, de communautés unies par une tradition très conservatrice.

Divisions : Les deux principales tendances ou sectes de l’islam sont le Sunnisme (orthodoxe) et les Chiisme. Le Sunnisme est le courant majoritaire de l’islam qui prétend représenter l’orthodoxie musulmane face au Chiisme. S’appuyant sur la Sunna et sur le consensus communautaire, le Sunnisme a reconnu, comme successeurs du Prophète, les quatre premiers califes, puis les Omeyyades et les Abbassides, tandis que les Chiites ont réservé cette charge à Ali et à sa descendance. Hostiles à toute nouveauté et à toute forme d’ésotérisme, les Sunnites représentent environ 90% de la communauté musulmane. Opposé à ce que la qualité de calife ou d’imam soit conférée à tout autre qu’à un descendant d’Ali (le gendre de Mahomet), le Chiisme se distingue du Sunnisme par le rôle assigné aux imams, par une interprétation souvent mystique du Coran, par ses propres lieux saints et par des croyances ou dévotions spécifiques (Passion de Husayn, fils d’Ali; retour de l’imam ‘caché’). Les Chiites croient en 12 imams, enseignants parfaits, qui continuent de guider les fidèles depuis le paradis. Les Chiites admettent que l’homme a un volonté libre; les Sunnites sont déterministes. Les Chiites observent les cérémonies du mois de jeûne. Ils permettent le mariage temporaire contracté moyennant une certaine somme d’argent, tandis que les Sunnites affirment que Mahomet l’a interdit. Les Chiites rangent les « adorateurs du feu » parmi les « peuples du Livre », tandis que les Sunnites n’y reconnaissent que les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans. Les Chiites admettent le principe du compromis religieux pour échapper à la persécution et à la mort, tandis que les Sunnites considèrent cela comme une apostasie. On trouve beaucoup d’écoles de pensée théologiques et des factions politiques, mais malgré ces divisions, les principaux articles de la foi et de la morale, et le rituel, sont substantiellement uniformes.

 

B - Les principes de l’islam

 

Manuscrit égyptien du Coran datant du 16ème siècle

 

Les principaux éléments doctrinaux de l’islam sont écrits dans le Coran. Pour aider à interpréter le système religieux du Coran, s’y ajoutent : d’abord les « Traditions », qui contiendraient des enseignements supplémentaires de Mahomet, mais dont une grande partie est décidément apocryphe; ensuite, nous avons le consensus des docteurs de l’islam représentés par les imams les plus célèbres, par les fondateurs des diverses sectes islamiques, par les commentateurs coraniques et par les maîtres de jurisprudence islamique; ensuite vient l’analogie, ou la déduction à partir de principes reconnus admis dans le Coran et les Traditions. La religion de Mahomet, ou l’islam, ne contient pratiquement rien d’original; c’est un mélange confus de paganisme arabe autochtone, de Judaïsme, de Christianisme, de Sabéisme (secte religieuse des premiers temps de l’islam), de Hanafisme (une des quatre grandes écoles juridiques de l’islam sunnite, adoptée par l’empire ottoman) et de Zoroastrisme.

Le système peut être divisé en deux parties : le dogme, et la morale. Tout le dogme islamique serait contenu dans une formule : « Il n’y a pas d’autre Dieu que le vrai Dieu, et Mahomet est son Prophète ». Cette formule implique pour les musulmans six articles distincts concernant (a) Dieu; (b) Ses Anges; (c) Son livre; (d) Ses Prophètes; (e) la Résurrection et le jour du Jugement; (f) le décret absolu et irrévocable de Dieu et la prédestination tant pour le bien que pour le mal.

a) La doctrine de l’islam concernant Dieu – son Unité et ses Attributs divins – est essentiellement celle de la Bible; cependant, Mahomet haïssait fortement la doctrine de la Trinité et de la filiation divine du Christ.

b) La science des anges et la démonologie de l’islam sont presque totalement basées sur des traditions juives et chrétiennes. A côté d’anges et de démons, il y a aussi d’autre créatures, de feu, capables de manger, boire, se reproduire et mourir, dont certaines sont bonnes, d’autres mauvaises, mais toutes capables de salut futur ou de damnation.

c) Écritures : le Coran, paroles de Dieu; Hadith, une collection des dires du Prophète.

d) On dit que le nombre des prophètes envoyés par Dieu fut d’environ 124 000, et des apôtres, 315. Le Coran mentionne le nom de 22 prophètes, comme Adam, Abraham, Moïse, Jésus, etc. Selon les sunnites, les prophètes et les apôtres étaient sans péchés et supérieurs aux anges, et jouissaient du pouvoir de faire des miracles.

e) Dieu récompense les bons et punit les mauvais. Il est miséricordieux et se laisse facilement toucher par la repentance. Le châtiment des méchants impénitents sera terrible, et grande sera la récompense de ceux qui sont fidèles. Tous les hommes devront ressusciter des morts et subir le jugement universel. Le jour de la Résurrection et du Jugement sera précédé et accompagné par des signes dont plusieurs sont identiques à ceux mentionnés par le Nouveau Testament. La résurrection sera générale et concernera toute créature (contrairement à l’enseignement de la foi catholique). Les tourments de l’enfer et surtout les plaisirs du paradis sont proverbialement bas et sensuels. L’enfer est divisé en sept régions, dont une est réservée aux chrétiens. Alors que la damnation de tous les infidèles (les non-musulmans) sera sans espoir et éternelle, les musulmans coupables de péchés énormes seront délivrés de l’enfer après y avoir expié leurs crimes (cela contredit de plein fouet le dogme catholique).

La Kaaba dans la grande Mosquée de la Mecque, contenant la pierre noire sacrée apportée, selon le Coran, à Abraham par l’archange Gabriel.

 

 

Les joies et les gloires de paradis sont aussi fantastiques et sensuelles qu’il était possible à l’esprit lascif des Arabes de l’imaginer. Il est question de rivières où coulent l’eau claire, le vin et le miel, de sources parsemées de rubis et de diamants, de ravissantes jeunes filles de pur musc et indemnes de toute impureté naturelle et de défaut, modestes et enfermées dans des pavillons recouverts de perles. Chaque individu y possèdera un grand domaine comprenant au moins 80 000 serviteurs et 72 femmes. La nourriture sera servie dans des plats en or, 300 en même temps, contenant chacun une nourriture différente; les vins et liqueurs seront en abondance inépuisable, les vêtements seront magnifiques, en soies et brocarts les plus riches, couverts de bijoux. Bracelets d’or et d’argent, couronnes ornées de perles, luxueux tapis, matelas, oreillers en soie, etc., rien ne manquera. Et pour qu’ils puissent jouir de tous ces biens, Dieu donnera à ses élus une jeunesse, une beauté et une vigueur perpétuelles. Une musique et des chants ravissants berceront les cœurs pour toute l’éternité. Il va sans dire que ce paradis matérialiste n’est pas le Paradis vrai de la foi catholique. Nous croyons nous qu’il y aura des joies propres aux corps glorifiés, mais nous plaçons l’essentiel du bonheur du Ciel dans les joies de l’esprit, qui sont infiniment supérieures.

f) La doctrine islamique de la prédestination est équivalente à la fausse doctrine du fatalisme. Ils croient que Dieu décrète et prédétermine de façon absolue aussi bien le mal que le bien, et donc que tout ce qui a été ou aura été dans le monde, bien ou mal, procède entièrement de la volonté divine, et est fixé de façon irrévocable de toute éternité. En conséquence, l’exercice et même l’existence d’une volonté libre chez les créatures est futile et inutile.

C - Les pratiques religieuses

Les quatre principales exigences rituelles sont les suivantes : (a) les prières, les ablutions et les purifications; (b) l’aumône; (c) le jeûne; (d) le pèlerinage à la Mecque.

Les musulmans doivent prier cinq fois par jour : avant le lever du soleil, à midi, à quatre heures de l’après-midi, au coucher du soleil, et peu avant minuit. Les prières doivent être faites en se tournant vers la Mecque, et doivent être précédées par des ablutions, sous peine de rendre la prière sans valeur. Le vendredi, les prières publiques ont lieu dans une mosquée, et sont conduites par un imam. Seuls les hommes assistent aux prières publiques, les femmes priant rarement, même à la maison. Les prières pour les morts sont méritoires et sont recommandées. Le jeûne est recommandé en toute saison, mais il est prescrit seulement pendant le mois du Ramadan. Il commence au lever du soleil et finit au coucher du soleil. Il est très rigoureux surtout quand la saison du jeûne tombe en été. Le pèlerinage à la Mecque une fois dans sa vie est un devoir qui incombe à tout musulman libre ayant assez de moyens et de forces. Les cérémonies en sont strictement similaires à celles employées par le Prophète lui-même.

 

D - La Morale

Il est à peine nécessaire d’insister sur le fait que l’éthique de l’islam est fort inférieure à celle du Judaïsme, et encore plus à celle du Nouveau Testament. Sans doute, on trouve beaucoup de choses qu’on peut approuver et admirer, mais quant à l’originalité ou la supériorité, il n’y a rien. Ce qui est réellement bon dans l’éthique islamique sont soit des lieux communs, soit des emprunts à d’autres religions, tandis que ce qui est caractéristique est presque toujours imparfait ou même mauvais.

Les principaux péchés défendus par Mahomet sont l’idolâtrie et l’apostasie, l’adultère, le faux témoignage contre un frère musulman, les jeux de hasard, boire du vin ou d’autres boissons alcooliques, l’usure, la divination par les flèches. L’amour fraternel se limite aux frères musulmans. L’islam punit sévèrement toute forme d’idolâtrie et d’apostasie, tandis que la violation de n’importe quelle autre ordonnance n’encourt généralement pas de punition, à moins qu’elle ne constitue une atteinte sérieuse au bien-être social ou à l’ordre politique de l’état. L’infanticide est strictement défendu par Mahomet.

La religion et l’état ne sont pas séparés dans l’islam. D’où la jurisprudence islamique, civile et criminelle, repose principalement sur le Coran et les « Traditions ». La calomnie est dénoncée fortement, bien que le faux témoignage soit permis pour cacher le crime d’un musulman et sauver sa réputation ou sa vie. A propos du mariage, de la polygamie et du divorce, le Coran permet explicitement d’avoir quatre femmes légitimes en même temps, et le mari peut les divorcer quand cela lui plaît. Des esclaves maîtresses et des concubines sont permises en nombre indéterminé. Il est explicitement interdit au mari comme à sa femme de chercher à divorcer pour un motif léger ou un caprice, mais Mahomet lui-même et ses successeurs n’ont pas respecté cette règle. L’immoralité est théoriquement sévèrement condamnée et punie par le Coran, mais le laxisme moral et la sensualité dépravée des musulmans en général ont pratiquement annulé ce principe.

L’esclavage est regardé comme une nécessité pratique. En général, les hommes ont droit à deux fois plus que les femmes. Le meurtre et le suicide sont explicitement interdits, bien que la vengeance du sang soit permise. En cas de préjudice personnel, la vengeance est approuvée.

Mahomet a choisi le vendredi comme jour sacré de la semaine. Le motif le plus probable était le désir de choisir un jour différent de celui des Juifs et des Chrétiens. Mais c’était aussi un jour de réunions solennelles et de festivités publiques parmi les Arabes d’avant l’islam. L’abstinence du travail n’est pas exigée le vendredi, mais il est ordonné que des prières publiques soient faites ce jour-là.

En politique, l’islam est un système de despotisme à l’intérieur et d’agression à l’extérieur. Le Prophète ordonnait une soumission absolue à l’imam. On ne pouvait élever l’épée contre lui sous aucun prétexte. Dans les pays musulmans, les droits des sujets non-musulmans (les dhimmis) sont très vagues, et très limités, et la guerre religieuse (la Jihad) est un devoir sacré lorsqu’il y a une chance de succès contre l’infidèle. Les persécutions de Juifs et de Chrétiens pendant le Moyen-Age et les temps modernes sont peut-être la meilleure illustration de cet esprit religieux et politique fanatique. Par exemple, au Soudan, depuis 1956, selon un annonce par le Vatican, plus de 3 millions de Chrétiens ont perdu la vie dans une guerre fomentée par les musulmans contre eux. Les terroristes demeurent fidèles à ces principes de l’islam.

Si nous regardons les prophéties catholiques, il semble que l’islam ne sera pas vaincu avant que Notre-Dame établisse la période de paix promise à Fatima. "

 

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